A 56 ans, Bruno Berthier est devenu le premier Doyen « maison » de l’Université Savoie Mont Blanc, où il a accompli la totalité de son cursus initial de juriste.

Entouré d’une équipe de direction « aussi motivée que compétente », Bruno Berthier compte bien mettre toute son énergie à parfaire le rayonnement de la Faculté de droit durant son mandat, pour « rendre à l’Université Savoie Mont Blanc un peu de tout ce qu’elle a pu lui apporter ».

+ D’infos :

  • Composition de la nouvelle équipe de direction [cliquez ici]
  • Présentation du nouveau Doyen de la Faculté de droit [cliquez ici]
  • 1ere session :
    Ouverture des inscriptions au 8 avril 2020
    Clôture des inscriptions au 20 juillet 2020
  • 2eme session :
    Ouverture des inscriptions au 25 août 2020
    Clôture des inscriptions au 22 octobre 2020

Le DU apporte aux participants la possibilité de se former aux modes amiables de règlement des différends :

  • Se former aux différents MARD (négociation, médiation, conciliation, droit collaboratif, procédure participative assistée par avocat).
  • Acquérir et maîtriser les outils au service du négociateur quel qu’en soit le domaine d’application.
  • Mettre en capacité les participants de proposer les MARD à leurs clients ou aux justiciables, leur apprendre à tenir leur rôle au cours du processus (ex. avocat conseil d’une partie en médiation ou en conciliation), voire à les pratiquer eux-mêmes s’ils conduisent le processus (négociateur, médiateur, conciliateur, avocat collaboratif ou participatif).

Conditions d’accès Professionnels et Étudiants

Diplôme remplissant les conditions du CNMA.
Diplôme reconnu par l’AFPDC.

+ D’infos :

  • Les diplômes d’université à la Faculté de droit [cliquez ici]
  • La formation continue à la Faculté de droit [cliquez ici]

Nous vous informons que le Diplôme Universitaire « Laïcité et République » de l’Université Savoie Mont Blanc, porté par la Faculté de droit, ouvre ses candidatures pour l’année 2020-2021.

Cette formation pluridisciplinaire propose d’aborder les fondements historiques, philosophiques, juridiques de la laïcité, en France et en Europe, puis ses applications pratiques, essentiellement en France(dans les services publics, dans l’espace public, dans les relations de travail etc.).
Son but est de donner un éclairage sur les questions liées à la laïcité et aux faits religieux, de lever un certain nombre d’idées reçues, et aussi de donner des outils afin de gérer certaines difficultés pratiques.

Il s’agit également de promouvoir la connaissance de la laïcité en vue d’une coexistence pacifique de toutes les croyances.

Le diplôme est habilité par le Ministère de l’Intérieur ; formation civile et civique, il permet aux aumôniers hospitaliers,
militaires et pénitentiaires de répondre à l’obligation de formation imposée par le Décret n. 2017-756 du 3 mai 2017.

Le DU est ouvert :
– aux agents des différentes administrations (hospitalières, pénitentiaires, éducatives, territoriales, déconcentrées, etc.) ;
– aux personnels d’encadrement des trois fonctions publiques ;
– aux gestionnaires et agents d’établissements culturels, sociaux ou médico-sociaux ;
– aux dirigeants associatifs et religieux ;
– aux animateurs et formateurs ;
– aux étudiants ;
– aux élus locaux.

La plaquette ainsi que le formulaire pour les inscriptions sont en ligne sur le site de la Faculté de droit

Ré-ouverture de l’application E-candidat, pour les candidatures 2020-2021
La procédure E-candidat concerne les candidats ayant un diplôme européen.
Les candidatures s’effectuent uniquement en ligne, en fonction de votre profil [cliquez ici].

Du 01/03/2020 au 10/07/2020

L2 Administration Economique et Sociale
L2 Droit
L2 Droit (double diplôme LEA)
L3 AES – Administration et gestion de l’entreprise
L3 AES – Préparation aux métiers de la fonction publique
L3 Droit (double diplôme LEA)
L3 Droit privé
L3 Droit public

 

Du 20/04/2020 au 15/05/2020

M1-M2 Droit Notarial
M1-M2 Droit Privé – Droit du dommage corporel
M1-M2 Droit Privé – Droit privé et public des obligations
M1-M2 Droit Privé – Métiers du droit et de la justice
M1-M2 Droit Public – Administration des collectivités territoriales
M1-M2 Droit Public – Droit de la montagne
M1-M2 Droit Public – Droit privé et public des obligations
M1-M2 Droit des affaires – Droit et contentieux de l’entreprise

 

+ D’infos :

  • sur votre inscription administrative [cliquez ici]
  • pour toute question contactez la scolarité administrative [cliquez ici]

CONFÉRENCE DÉBAT
Gratuit / Ouvert à tous et à toutes

Date : jeudi 26 mars 2020 / 13h30-15h30
Lieu : campus de Jacob-Bellecombette, amphithéâtre 3

Margot Giacinti, doctorante au Laboratoire Triangle-ENS Lyon et chargée d’enseignement en science politique à l’USMB depuis la rentrée 2019, réalise actuellement une thèse intitulée : Le féminicide : enjeux socio-historiques d’une catégorisation juridique dans l’espace francophone, de la Révolution française à nos jours. Elle a déjà réalisée plusieurs communications en France et à l’étranger sur cette thématique, qui touche à une réalité douloureuse, bien que commune, de la France contemporaine.

Elle viendra nous présenter les enjeux et avancées de son travail et plus largement le champs de recherche en histoire de la pensée politique et des études de genres dans lequel elle s’inscrit.

+ D’infos [cliquez ici]

SEMINAIRE
Séminaire annuel du master droit du dommage corporel [+ d’infos]

Sous la direction de Laurence Clerc-Renaud (responsable du master 2 droit du dommage corporel, maître de conférences USMB) et Lynda Lettat-Ouatah (responsable adjointe du master 2 droit du dommage corporel, avocat au barreau de Lyon)

 

Date : vendredi 02 avril 2021   de 9h30 à 17h30
En distanciel : un lien Zoom vous sera envoyé à l’adresse e-mail renseignée dans le formulaire d’inscription
Sur inscription uniquement [Cliquez ici]
Gratuit

L’année qui vient de s’écouler, en raison du confinement lié à la crise sanitaire, a accentué encore le nombre de plaintes liées à la violence domestique contre les femmes et les enfants pour atteindre un niveau incomparable à celui des années précédentes : 1 468 plaintes reçues au cours des 12 derniers mois, contre 747 l’année précédente. D’après un sondage commandé par l’association Face à l’inceste, 6,7 millions de français se déclarent victimes d’inceste, dont 78% de femmes. Des chiffres en très forte hausse. Concernant les femmes, 1 femme sur 3 est victime de violence au cours de sa vie. 3 femmes victimes sur 4 déclarent avoir subi des faits répétés. 8 femmes victimes sur 10 déclarent avoir également été soumises à des atteintes psychologiques ou des agressions verbales.

Une enquête sur les violences sexuelles réalisée en 2019 par Ipsos pour l’association Mémoire Traumatique et victimologie révèle que les enfants sont les principales victimes des violences sexuelles : 81 % des cas d’agressions commencent avant les 18 ans de la victime, avant 11 ans pour une victime sur deux. Dans 94 % des cas, l’agresseur est un proche ; une fois sur deux, il fait partie de la famille de la victime

Ces chiffres importants suscitent de nombreuses interrogations.
A l’heure actuelle, toute notre société se mobilise pour prévenir et sanctionner les violences. La honte et la culpabilité sont souvent le résultat de violences portant atteinte à la dignité des victimes. L’emprise particulièrement sur les femmes et les enfants constitue un frein à l’extériorisation des souffrances, à la dénonciation.

Si la parole se libére sur les réseaux sociaux autour des #balance ton porc, ##metoo, et #Iwas la question se pose de savoir si notre système juridique et judiciaire est à même de prendre en charge ces victimes quand on sait que seulement 10% des victimes déposent plainte, 74% des plaintes sont classées sans suite et sur les 26% restant les faits sont très majoritairement requalifiés en agression sexuelle.

Comment accueillir la parole des victimes ? Comment évaluer les dommages et les préjudices résultant des violences à la fois physiques et psychiques ? Quelles sont les spécificités de l’expertise, des procédures judiciaires et de la réparation ? Le droit est-il à même de répondre à ces questions ?

Nous aborderons ces problématiques lors d’interventions et de tables rondes avec des spécialistes reconnus de la matière : magistrats, experts-psychiatres, psychologues, avocats, représentants du Fonds de garantie et universitaires seront présents lors de discussions.

 

Affiche
Programme

+ D’infos : gestionnaire-cerdaf@univ-smb.fr

CONFÉRENCE DÉBAT
Gratuit / Ouvert à tous et à toutes

Date : jeudi 19 mars 2020 / 13h30-15h30
Lieu : campus de Jacob-Bellecombette, amphithéâtre 3

Joseph Hivert, docteur en science politique de l’Université de Lausanne, est un spécialiste de la sociologie de la socialisation politique et de la sociologie de l’engagement. Il a plus particulièrement travaillé sur les anciens détenus politiques d’extrême gauche au Maroc et leurs familles, en s’intéressant à la question de la transmission intergénérationnelle des dispositions à l’engagement politique.

Son travail de thèse, récemment achevé et qu’il viendra nous présenter, s’intitule : Les enfants du militantisme. Transmission intergénérationnelle des dispositions politiques en contexte autoritaire (Maroc, des années 1970 à nos jours).

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